Mont Taxonis Blog

Logo dessiné en guise de suggestion de présentation Avec le "M" de Montesson, pour faire le cadre d'un vélo de course, j'ai imaginé au début des années 2000, ce logo d'un club cycliste Montessonnais, et une course ayant un challenge avec le nom d'un ancien maire de la commune. Gaston Voillereau, maire de 1928 à 1945 et de 1947 à 1964. Il connu une coupure de 2 ans, après l'élection en Mai 1945 de Jean Lemoine. Mais, de mémoire, je sais que Montesson a connu des courses cyclistes. Si le projet voyait le jour, le départ de la course commençait rue Gaston Voillereau, derrière l'église et avec comme slogan : " le seul dopage, c'est notre courage ! ".

Dans les années 1910, lassés de devoir faire le tour, en passant par l'actuelle rue du Lavoir, où se trouve notamment, l'entrée de la Maternelle Jean Zay, pour se rendre au lavoir ( aujourd'hui, la Bibliothèque Municipale ), les habitants demandent une solution à leur problème. Et la réponse ne se fera pas attendre; avec la destruction d'une maison à étage qui reliait l'ancienne boucherie ( devenu une maison de ville ) et la banque LCL. Ainsi naquit le boulevard, en 1912.

Il en a fallu du temps pour remettre en état la Bibliothèque Municipale Louis Aragon, mais ça valait le coup. Après avoir déménagé la Cuisine Municipale accolée à l'ancienne Bibliothèque, au Collège Pablo Picasso, les poussières de plâtre et de ciment ont volés pour précéder à l'agrandissement de l'établissement culturel de la ville. Avec une rampe pour les personnes à mobilité réduite et une porte vitrée qui s'ouvre automatiquement, dès notre approche, la nouvelle bibliothèque est fonctionnelle. Des rayons plus grands, plus d'espace. Avec le nombre constant des ouvrages des sorties littéraires annuelles, l'endroit devenait trop petit. L'ancien bâtiment abritait un autre lieu... des bains publics, et dans le passé, c'était le lavoir de la commune. Dans un ancien numéro de Montesson en Direct (en PDF), j'ai appris qu'une borne a été installé, pour le retour des livres, quand la bibliothèque est fermée. Dans ma jeunesse, c'était comme ma m

L'inscription exacte sur la devanture est "By la souris". En fait, il y a 2 façades (une noire et une grise) qui formait un ancien café. Celui de Monsieur et Madame Tanguy, où l'on venait pour faire son tiercé, regarder les courses en direct, parler avec ses amis et voisins. Pour faire son PMU, comme disaient les clients, on pouvait se rendre au fond du commerce, à un comptoir attenant à une pièce étroite. Tout à fait normal, quand on sait qu'au début du XXe siècle, cette dite pièce étroite, n'était autre qu'une cellule de prison. Le bar du couple Tanguy était fondé sur l'ancienne prison municipal. Un comble, quand on sait que la cellule était réservée essentiellement aux habitants en état d'ébriété. Un trait d'humour de la vie de tous les jours. Et ça, c'était au 9, rue du Général Leclerc .

C'était génial, d'aller chercher son journal, des cartes postales, son magazine préféré, un livre ou des fournitures scolaires, par exemple, à la Librairie qui a disparu, malheureusement, et remplacée par une cordonnerie artisanale, au 7, rue du Général Leclerc . C'était un point de rencontre idéal pour voir de la famille, des amis ou des voisins. Un lieu qui réunissait autant de monde qu'une page Facebook. La librairie a connu moults propriétaires, avec une arrière-boutique où se trouve actuellement, le Café-Restaurant "Le Centre" . Le comptoir avait été déplacé une fois... à côté de la porte d'entrée et avant, il se trouvait dans le fond de la boutique, devant la porte de service qui communique maintenant avec le Café du Centre. En perdant sa librairie, Montesson a perdu sa curiosité historique et sociétale. Dommage !

Aaahhh, Madame Debuche. Irremplaçable. Son commerce se trouvait au 3, rue Henri Richaume , où se trouve actuellement, le Pressing de Montesson . Qu'est-ce que j'aimais son magasin. Une vraie caverne d'Ali Baba, pour enfants. Des jouets par milliers, comme dans la chanson du Père Noël, mais aussi de la quincaillerie, des produits ménagers, etc... A certains endroits de sa boutique, il fallait marcher à "l'égyptienne" comme un hiéroglyphe, de peur de faire tomber quelque chose de son étagère. Par temps de pluie, de neige ou de froid, nous pouvions voir sur les vitres extérieures, des empreintes de doigts, de joues et je me demandais parfois si ce n'était pas de la bave (((rires))). Une fois que Mme Debuche est partit à la retraite, elle a été remplacée par Alain, qui avait appelé son magasin "Capharnaüm", et avait été obligé de réduire sa boutique. Je ne sais pas si cela à voir avec le fait que très souvent, des clients sans scrupule, demand